Nous contacter : anne.reverso@gmail.com
– Co-rédactrices en chef : 1/ Anne Dobigny-Reverso, Maître de Conférences à la Faculté de Droit de l’Université de Toulon, en histoire du droit et droit privé. Attachée à l’IHD-Jean Gaudemet (Institut d’histoire du droit Jean Gaudemet, UMR 7184, Université Paris-Panthéon-Assas – CNRS). Voir : https://ihd.cnrs.fr/annuaire/liste/anne-dobigny-reverso/
2/ Isabelle Brancourt, Chargée de recherche Honoraire (CR-HC-HEB) au CNRS, rattachée à l’IHD-Jean Gaudemet (Institut d’histoire du droit Jean Gaudemet, UMR 7184. Université Paris-Panthéon-Assas – CNRS), directrice adjointe honoraire du CEHJ (Centre d’Etude d’Histoire Juridique – CNRS – Paris II – Archives nationales de France) Voir : https://ihd.cnrs.fr/annuaire/liste/isabelle-brancourt/
Voir aussi : BRANCOURT_Publications-liste-complète-12-2023
Née Storez, en 1957, elle est entrée par concours au CNRS après un peu moins de vingt années passées dans l’enseignement secondaire et supérieur. Agrégée d’Histoire (1986), elle est spécialisée en histoire moderne et sa thèse sur le chancelier d’Aguesseau (1992) lui a permis d’établir un pont entre l’histoire et le droit par l’histoire des institutions et de la magistrature, d’abord, puis par l’histoire de la justice et de la procédure, ensuite. Habilitée à diriger des recherches en 2005 par un jury mixte d’historiens des Lettres et d’historiens du Droit. Elle a créé ce carnet presque au point de départ de l’entreprise “Hypothèses.org”, en février 2009 et en a assuré la direction jusqu’à sa retraite. Elle en reste une collaboratrice.
– Caution scientifique à l’origine de la création de ce carnet : 1) Julian Swann, professeur à l’Université de Londres, est spécialiste de l’histoire de la France au XVIIIe siècle, sous le règne de Louis XV. Après un ouvrage sur les relations du parlement de Paris et de la Monarchie sous Louis XV, son dernier ouvrage est consacré aux états de Bourgogne.
2) Pascal Bastien, professeur à l’Université Laval, Université du Québec à Montréal, Département d’histoire, Montréal, H3C 3P8 Québec. Canada.
3) Francesco Di Donato, professeur à l’Université de Naples, Italie. Spécialiste de l’idéologie parlementaire au XVIIIe siècle, grand connaisseur de Le Paige, à partir des archives exceptionnelles de la Bibliothèque de Port-Royal (Paris).
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Auteurs collaborateurs occasionnels : 1) Marie Bouhaïk-Gironès. Docteur en histoire médiévale de l’Université de Paris 7, chargée de recherches à l’Organisation néerlandaise pour la recherche scientifique (Amsterdam), au sein du programme de recherche ‘Law and Drama, France, 13e-16e s.’, elle enseigne actuellement à l’EHESS.
http://home.medewerker.uva.nl/m.bouhaik-girones/
2) Philippe Paschel, docteur en droit de l’Université de Paris-II. Ingénieur au CNRS. Spécialiste du Parlement de Paris au XIVème siècle. Plusieurs articles
sur la procédure. Voir la base “Parlement civil (XIVe. s” sur le site de l’Institut d’Histoire du Droit (UMR 7184-Université Panthéon-Assas-Paris-II-CNRS-Archives Nationales) [http://www.ihd.cnrs.fr/].
3) Caroline Regad, docteur, historienne du droit, maître de conférences à l’Université de Toulon, membre du “Centre de droit et de politique comparées-Jean-Claude Escarras” (CNRS. UMR 7318).
4) Vincent Guffroy, docteur de l’Université de Lille, historien, spécialiste du XVIIIe siècle et de la Révolution française.
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– Adaptation de la maquette : Christophe Bonijol (CLEO).
– Crédits photographiques :
je suis à la recherche de documents concernant: Henri-Michel d’Amboise, député de la Noblesse en 1789
La famille d’Amboise appartient à la noblesse d’épée. Au XVIIe siècle, il y a bien un maître des requêtes de ce nom, mais à ma connaissance, aucun de ses membres n’est entré au Parlement de Paris. En l’état actuel du traitement des archives, il n’est pas possible de dire si Henri-Michel a eu ou non des procès par devant le Parlement. Auriez-vous de votre côté quelques dates ou affaires à mentionner ?
Isabelle Brancourt
Chère Collègue,
J’ai apprécié vos deux études sur la séance royale du 19 novembre. On est en effet ici à l’épicentre du débat constitutionnel. Le calme apparent qui s’ensuit pendant les mois qui suivent est trompeur. Le feu couve encore. Et l’affrontement constitutionnel reprend de plus belle au printemps. Il y a bien un avant et un après 19 novembre 1787. Tout cela m’a donné l’idée de poursuivre avec les remontrances du 11 avril 1788. Mais je me suis écarté de mon objectif et en fin de compte j’ai retranscrit les 11 procès-verbaux des Assemblées des chambres du 11 avril au 7 mai 1788. Ils sont accompagnés de quelques commentaires dans ma Chronique 2e série.
Je vous adresse mes cordiales salutations
Michel Bottin
Cher Professeur,
Je suis touchée de votre commentaire et contente que mon article “C’est légal parce que je le veux” ait attiré votre attention favorable. J’ai d’ailleurs poursuivi cette recherche, de mon côté. J’apprends ainsi votre travail de transcription des séances plénières des mois d’avril et mai 1788 et je vous remercie de ce travail.
Avec mes respectueuses salutations.